Alors c'est comme ça que tu me voyais toi ? Comme un vugaire jouet balancé de main en main ? Ne nie pas surtout. Je sais reconnaitre lorsque tu me mens. Tu as joué avec moi pendant des années. Tu disais que tu m'aimais. Mais vois-tu, j'ai finit par comprendre que tes paroles résonnaient faux. J'ai finit par comprendre que la lueur qui animait ton regard lorsque tu me regardais n'était pas une étincelle d'amour mais une étincelle de trahison. Voir peut être même... De remord. Tu as sans doûte regretté ce que tu as fait. Tu as sans doûte comprit la connerie que tu avais faite. Mais vois-tu, l'excuse ne fait pas tout dans la vie. Il faut bien te mettre ça dans la tête. Oublies-moi. Car jamais tu ne me reverras.
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Je me suis longtemps demandé pourquoi je ne te ressemblais pas. Pourquoi je me sentais différente. Pourquoi je n'avais aucun point commun logique avec toi. Petite, je ne m'inquiétais pas plus que ça de ces différences pourtant si frappantes. C'est en grandissant que la raison m'a rattrapé. C'est en m'oscultant que je m'suis dit que tu me ressemblais pas. J'comprends pas pourquoi tu me l'as jamais dit. Tu as voulu cacher le secret ? Pas de chance j'ai tout découvert. Pourquoi ne pas m'avoir tout simplement dit que tu m'avais adopté ? Pourquoi m'avoir tout caché ? Maintenant je suis là, assise devant ta tombe. Je suis responsable de ta mort. Avant, je t'ai assallit de reproches. Tu as décidé d'en finir. J'voulais pas ça. J'voulais pas que tu finisses comme ça. Du moins, pas maintenant. Plus maintenant...
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